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Le samedi 26 avril 2025, à Cotonou, les quinze membres du Conseil Supérieur de Transition (CST) de l’Église du Christianisme Céleste ont été officiellement installés. La cérémonie s’est déroulée en présence du Président Patrice Talon, de plusieurs membres du gouvernement, ainsi que de nombreuses autorités religieuses et civiles. L’événement ouvre une nouvelle étape pour l’Église, longtemps divisée par des crises internes.

Fondée en 1947 par le Prophète Samuel Bilehou Joseph Oshoffa, l’institution a connu des décennies d’instabilité après la disparition de son fondateur, entraînant des rivalités et une perte de repères pour les fidèles. Pour répondre à cet éclatement, Patrice Talon a initié un processus de concertation. Depuis février 2025, des rencontres ont été organisées à Cotonou entre dignitaires issus de différents courants. Ces échanges ont abouti à la création du CST, chargé de poser les bases d'une nouvelle gouvernance. Le Conseil dispose de douze mois pour accomplir son mandat. Sa mission est de restructurer l’organisation interne, rétablir l’harmonie entre les différentes branches, réviser les textes fondamentaux et préparer l’élection d’une autorité consensuelle. Les travaux devront se faire dans le respect des principes laissés par le fondateur de l’Église. Le CST est composé de quinze membres, parmi lesquels les Révérends Pasteurs Akande Adeogun et Friday Oshoffa, ainsi que Justin Aka, André Amoussou, Gabriel Soumaho et Bertin Bada, représentant du Chef de l’État.

Dans son intervention, Patrice Talon a salué l’esprit d’unité et l’engagement des acteurs impliqués dans le processus. «L’événement que nous vivons ensemble aujourd’hui est historique. Nous venons de donner du sens au mot paix», a déclaré le Président, avant d’inviter les fidèles à accompagner le Conseil dans ses efforts.

Le samedi 26 avril 2025, à Cotonou, les quinze membres du Conseil Supérieur de Transition (CST) de l’Église du Christianisme Céleste ont été officiellement installés. La cérémonie s’est déroulée en présence du Président Patrice Talon, de plusieurs membres du gouvernement, ainsi que de nombreuses autorités religieuses et civiles. L’événement ouvre une nouvelle étape pour l’Église, longtemps divisée par des crises internes. Fondée en 1947 par le Prophète Samuel Bilehou Joseph Oshoffa, l’institution a connu des décennies d’instabilité après la disparition de son fondateur, entraînant des rivalités et une perte de repères pour les fidèles. Pour répondre à cet éclatement, Patrice Talon a initié un processus de concertation. Depuis février 2025, des rencontres ont été organisées à Cotonou entre dignitaires issus de différents courants. Ces échanges ont abouti à la création du CST, chargé de poser les bases d'une nouvelle gouvernance. Le Conseil dispose de douze mois pour accomplir son mandat. Sa mission est de restructurer l’organisation interne, rétablir l’harmonie entre les différentes branches, réviser les textes fondamentaux et préparer l’élection d’une autorité consensuelle. Les travaux devront se faire dans le respect des principes laissés par le fondateur de l’Église. Le CST est composé de quinze membres, parmi lesquels les Révérends Pasteurs Akande Adeogun et Friday Oshoffa, ainsi que Justin Aka, André Amoussou, Gabriel Soumaho et Bertin Bada, représentant du Chef de l’État.Dans son intervention, Patrice Talon a salué l’esprit d’unité et l’engagement des acteurs impliqués dans le processus. «L’événement que nous vivons ensemble aujourd’hui est historique. Nous venons de donner du sens au mot paix», a déclaré le Président, avant d’inviter les fidèles à accompagner le Conseil dans ses efforts.

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